lundi 2 août 2010

Le classique du lundi

On recommence! Ça va par séquence, le blogue...

J'introduit ici un nouveau segment qui pourrait peut-être me motiver à écrire plus souvent sur le blogue : Le classique du lundi. Si vous me connaissez moindrement, vous savez que je suis un grand amateur de musique devant l'éternel. J'apprécie presque toute forme de musique (Et par "musique", je veux dire "oeuvres faites par des gens qui ont un sens musical et qui comprennent la portée - ce qui exclue de facto tout ce qui joue dans des clubs et/ou ressemble à du boum-boum générique), et j'aime bien faire découvrir de la nouvelle musique aux gens qui m'entourent, autant qu'en découvrir moi-même. Mais des fois... les classiques, c'est aussi bon que de découvrir des nouvelles choses. Ça nous réconforte et on plonge dans des souvenirs, des fois cachés dans le fin fond de nos cerveaux. Voici donc... le premier classique du lundi.

http://www.youtube.com/watch?v=XD4VfshYsBk (L'auteur du vidéo à demandé à ce que l'on ne puisse pas mettre son vidéo en lien direct - ou "embedding" pour les anglos)

Il s'agit d'un grand classique québecois de la fin des années '80, Pour l'amour qu'il nous reste, de Francine Raymond.

Oui, je sais, c'est cheezy à l'os. Mais cette chanson-là vient me chercher à un point que rarement une chanson le fait (La seule autre qui me vient est Glycerine, de Bush). Francine Raymond n'a pas la voix la plus puissante de toutes les interprètes québecoises des dernières années, mais son interprétation sur cette chanson-là me jette à terre. Autant elle semble calme et posée lors des couplets, qu'elle semble enragée et attristée dans le refrain.

C'est une chanson que j'ai entendue à maintes reprises lors de mon enfance (Cité-Rock-Détente ftfw) et à laquelle je n'ai pas porté plus grande attention jusqu'à tout récemment. J'espère que vous allez l'apprécier aussi (Même si vous pouvez me traîter de tous les noms pour avoir mis une chanson aussi cheezy en ouverture de segment.)

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